Un chiot de 9 mois subit de graves brûlures suite à l’utilisation d’un sèche-cheveux : une association dénonce des actes de cruauté.
TL;DR : résumé de l’acte de cruauté sur un chiot
- Un chiot de 9 mois sévèrement brûlé au sèche-cheveux par sa propriétaire.
- L’association Action protection animale intervient et porte plainte.
- La découverte de l’incident suite aux alertes des voisins.
- La propriétaire et son compagnon face à la justice pour cruauté et négligence.
- Un passé déjà marqué par la violence pour le jeune animal.
Qu’est-il arrivé à ce chiot de 9 mois ?
Un drame animalier a récemment ému la Seine-et-Marne : un bouledogue anglais de 9 mois a été gravement brûlé au sèche-cheveux par sa propre propriétaire.
L’association Action protection animale, consternée par cet acte de cruauté, n’a pas hésité à porter plainte.
Le pauvre chiot a été découvert dans un état lamentable, couvert de brûlures, dans un appartement de Lognes.
Comment l’incident a-t-il été découvert ?
C’est le bruit des hurlements déchirants du chien qui a alerté les voisins, lesquels ont rapidement prévenu la police.
Les agents sur place ont été confrontés à un spectacle horrifiant : l’animal souffrait de plaies infectées et d’une septicémie avancée.
L’association Action protection animale a alors été sollicitée pour prendre en charge le chiot et lui offrir les soins nécessaires.
Quelle a été la réaction de la propriétaire ?
Face aux forces de l’ordre, la propriétaire de 34 ans a été convoquée au commissariat de Torcy.
Elle a justifié son geste par une obsession de la propreté, ne tolérant pas que son chiot salisse son domicile.
Elle a admis avoir lavé puis séché le chiot avec un sèche-cheveux à pleine puissance, ignorant les conséquences désastreuses de son acte.
Quelles sont les conséquences pour la propriétaire et le chiot ?
L’association Action protection animale a décidé de réagir avec fermeté en déposant une plainte pour “acte de cruauté envers un animal” et “privation de soins”.
La propriétaire fera face à la justice lors d’une CRPC le 30 septembre au tribunal judiciaire de Meaux.
Quant au chiot, malgré l’intervention d’un vétérinaire, il est à craindre qu’il garde des séquelles à vie de cette maltraitance.
Quel est le passé de violence de cet animal ?
Ce n’est malheureusement pas la première fois que ce chiot subit de la violence. Il avait déjà été victime de maltraitances par sa propriétaire, nécessitant une opération pour une fracture de la hanche à seulement trois mois.
Cet historique de violence soulève des questions importantes sur le bien-être animal et la responsabilité des propriétaires.
Pour plus d’informations sur cette tragique affaire, consultez l’article de Sud Ouest.
L’indignation face à de tels actes de cruauté envers les animaux est un rappel poignant de l’importance de la vigilance et de l’action pour protéger les êtres vivants les plus vulnérables de notre société.